Plongez dans les méandres d'une théâtrale folie psychiatrique...
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  RechercherRechercher  
-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal

Partagez|

Kaelig Owen, le Bordeline

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
MessageAuteur
MessageSujet: Kaelig Owen, le Bordeline Kaelig Owen, le Bordeline EmptyJeu 4 Aoû - 15:13

Nom : Owen
Prénom : Kaelig
Surnom :Kael pour les amis
Âge : 17 ans

▬▬▬▬▬▬▬▬

Sexe : Masculin
Orientation Sexuelle : Bisexuel
Groupe sanguin : O Rhésus positif
Fonction : Patient


Description de mon Physique :

Malgré son 1m 76 et ses 50 kilos, Kaelig peut parfois ressembler à un enfant. En cause, son visage, à la peau d'une étonnante blancheur, rappelant une poupée de porcelaine. Ses cheveux ne sont pas très longs, mais suffisamment pour que le tic lui vienne de les écarter de ses yeux, ou encore de les ébouriffer d'un geste de la main. Il n'a laissé que deux mèches de cheveux, une sur chaque épaule, pousser, et celles-ci atteignent presque son torse. Ses yeux, d'un brun très pâle qui peut confiner au gris selon la luminosité, semblent illuminer son visage par leur innocence...du moins quand ils ne sont pas assombris par la colère dont il est coutumier.
Les traits du visage de Kaelig sont très fins, et dessinent très bien son visage aux accents enfantins. Ses lèvres sont également très pâles, et ne s'étirent que très rarement en un sourire -comment pourrait-on avoir des raisons de sourire ici?
Le reste du corps de Kaelig est très élancé, et malgré son torse qui est lentement passé de « finement musclé » à « maladivement maigre », il reste plutôt agréable à regarder.

Sur le plan des vêtements, quand il parvient à convaincre un aide soignant de lui ôter la camisole de force dans laquelle il est enfermé à chaque fois qu'il se montre trop violent, on peut voir qu'il est vêtu d'un jean noir terne et d'un T-Shirt bleu marine sali par le temps, décoré d'un grand papillon stylisé dans le dos et avec dessus inscrit « Versailles-The Philharmonic Quintet », groupe de rock qu'il écoutait beaucoup...quand il pouvait encore écouter de la musique. Et pour tout bijou, un médaillon étrange, un tout petit disque de métal avec dessus un corbeau gravé et ce seul mot « Ruis ». Il s'agit en fait du médaillon correspondant à son astrologie celtique, et Kaelig s'y accroche de toutes ses forces, piquant une colère énorme à chaque fois que quelqu'un essaye de lui enlever. Ce bijou n'ayant aucune valeur, le personnel soignant a vite renoncé à en tirer quoi que se soit, et lui a donc laissé.


Description ma Personnalité :

Une grande partie du caractère de Kaelig Owen est malheureusement dictée par sa pathologie. La plupart du temps, il se montre donc très rebelle face à toute personne qui lui est supérieure sur le plan de la hiérarchie, n'hésitant souvent pas à l'attaquer sans se soucier du danger encouru. Ce qui fait de lui un patient particulièrement dangereux pour l'équipe soignante de l'hôpital. Il ne supporte pas d'être enfermé et déteste la foule, adepte des grands espaces et d'une liberté de mouvement qu'il ne retrouvera jamais.

Sur le plan émotionnel, Kaelig est à prendre avec des gants. Le simple fait d'évoquer devant lui sa vie avant d'arriver en ces lieux peut occasionner chez lui de fortes réactions, telles que des crises de larmes ou de colère. Il souffre tellement dans sa tête de sa situation qu'il doit l'exprimer par le physique, comme le montrent les innombrables marques sur ses bras: Brûlures, griffures, morsures, Kaelig s'automutile, car il pense que s'il souffre plus par son corps que par sa tête, il pourra oublier ce qu'il vit et ce qu'il a vécu. Il a déjà également fait plusieurs tentatives de suicides dans l'enceinte de l'hôpital, mais jusqu'à ce jour, il a toujours été « sauvé » à temps.

Mais, les rares moments où parvient à oublier qu'il se trouve enfermé dans un hôpital psychiatrique aux airs de laboratoire et de prison, Kaelig peut se montrer agréable envers les autres patients (uniquement), et plutôt charmeur, envers ces messieurs comme ces demoiselles, ce qui lui permet d'assouvir ses besoins de chairs, puisque le jeune homme est devenu nymphomane suite à sa personnalité Borderline.


Mon problème Mental :

Kaelig possède ce qu'on nomme une personnalité Bordeline. Cette pathologie est un fait un trouble du comportement particulièrement dangereux, puisqu'il se caractérise par des attitudes extrêmes: Tendances à l'automutilation, voire suicidaires, ressenti d'un ennui permanent qui ne se comble que par le danger, réaction violente face au stress et aux autres, etc...Et en effet, Kaelig est souvent alcoolique, nymphomane, parfois drogué, sa conception de la peur et du danger est toute...personnelle... il a des réactions imprévisibles et est extrêmement fragile sur le plan émotionnel. Et pour couronner le tout, ce besoin d'aller toujours plus loin le pousse à adopter en permanence extrêmement rebelle face à l'autorité, ce qui, dans un endroit comme celui-ci, peut de révéler encore plus dangereux que ce que l'on croit...


La source de mon Trauma :

Kaelig Owen est né...dans la rue. Du moins, c'est là qu'il a passé une bonne partie de son enfance. Il ne garde pas le moindre souvenir de ses parents, si ce n'est ce médaillon celtique qu'il a toujours et qui est sans doute le seul cadeau qu'ils aient jamais pu lui faire avec ce nom de famille dont il ne sait rien. En ces temps pour le moins violents, l'Irlande, son pays natal était particulièrement pauvre, et les enfants des rues n'étaient pas rare à Dublin. Aussi loin que remontent ses souvenirs, il a toujours été un enfant des rues.
La rue est un environnement hostile pour un enfant comme Kaelig. Il lui a donc fallu apprendre à survivre par ses propres moyens dans un univers où l'on ne peut compter sur personne. Comme d'autres, Kaelig appris donc à voler pour manger, à squatter pour dormir, à accumuler les petits boulots pour gagner deux piécettes, parfois en bande d'enfants comme lui, mais la plupart du temps, seul...
Le petit garçon qu'il était à cette époque n'était pas vraiment malheureux. C'est vrai, il ne mangeait pas tous les jours, il ne dormait jamais bien, avait froid bien souvent, mais...Il n'avait jamais rien connu d'autre, pas vrai? Au moins, il était libre, puisqu'il faisait ce qu'il voulait, et au fond sa vie n'était pas si horrible. Disons qu'il s'en accommodait bien.

Mais tout changea, un jour pluvieux d'hiver dans les rues de Dublin. Kaelig Owen avait huit ans ce jour-là. Il courait, à bout de forces, poursuivi par un marchand à qui il venait de voler quelques fruits. Se retournant, il vit que le marchand venait d'abandonner la course. Riant, Kaelig voulu se retourner, et...rentra net en collision avec une « grande personne ».
Kaelig allait s'enfuir tout de suite -pour les enfants des rues, les grandes personnes sont ceux qui vous envoient à la police, qui vous empêchent de voler de quoi manger dans les étalages, etc-. Mais l'homme lui saisit l'épaule d'une forte poigne, et il ne put prendre la fuite.
Celui-ci adressa quelques mots dans une langue inconnue à son épouse, qui était là aussi, puis se mit à parler à Kaelig dans un anglais...laborieux.

-Tu es...Tout seul?

Sans rien dire, Kaelig acquiesça. Plus tard, en se remémorant cette journée qui avait tout changé dans sa vie, il se dit qu'il avait dû paraître à ce riche couple comme un adorable petit garçon, comme un chaton abandonné pour lequel on craque! Un petit garçon de huit ans, vêtu d'habits crasseux et déchirés, trempé par la pluie, qui les regardait en levant de grands yeux bruns-gris, tenant dans ses mains quelques fruits qui seraient sans doute son unique repas! Quel couple riche ne craquerait pas à cette vue?

-Alors...Viens avec nous.

Et l'homme prit Kaelig par la main pour l'emmener. Il ne protesta pas, assez désorienté. Il se rappelle juste avoir laissé sa prise tomber sur le sol -geste symbolique s'il en est.

Ce qu'il apprit par la suite -et qu'il ne pouvait pas savoir avant-, c'était que le couple qui venait de l'emmener hors de sa vie d'enfant des rues était en fait un couple d'acteurs français extrêmement connu. Ils l'emmenèrent donc en France, et l'installèrent avec eux dans une magnifique villa du Sud de la France -un autre monde pour Kaelig.
La première année de sa nouvelle existence fut pour le petit garçon des rues qu'il avait été, la plus belle de toute sa vie. Le couple qui l'avait adopté était stérile, et ils le chérissaient comme leur propre fils. Kaelig les aimait comme il aurait sans doute aimé ses vrais parents. Et, malgré, son refus catégorique de changer son nom de famille pour prendre celui de ses « parents », tout se passa pour le mieux durant un an. Il apprit à lire, écrire et parler le français ainsi que l'anglais, sa langue maternelle. Il put enfin écouter de la musique, et se passionna pour un groupe de rock, en particulier, dont il acheta un T-Shirt, qui est celui qu'il porte aujourd'hui à l'hôpital. En fait, dans toute sa vie, il fut vraiment heureux une année, une seule année.

Mais ce fragile équilibre se brisa le jour où le film dans lequel ses parents adoptifs avaient jeté tout leur argent, en tant qu'acteurs et producteurs, fit un bide phénoménal. Ils durent abandonner leur villa pour un simple pavillon, un déchirement pour ce couple habitué à la richesse. Pour Kaelig, pour qui un pavillon était tout de même la richesse, rien n'aurait changé...Si son « père »...Ne s'était pas mis à boire.
Et à partir de là, ce fut un enfer. Sa « mère », ne tarda pas à plier bagages pour les Etats-Unis avec un autre homme, laissant Kaelig seul avec lui. Et l'acteur, n'ayant plus sa femme pour lui taper dessus, reporta son attention sur le petit garçon qu'il avait tiré de la rue dans un élan de générosité.
Kaelig avait neuf ans.
L'homme voulait garder son train de vie riche, mais n'en avait plus les moyens. Il considérait alors que c'était Kaelig qui lui pompait toutes ses économies. Alors il l'enferma dans sa chambre, lui donnant le minimum à manger, le laissant s'habiller avec des nippes achetées au Secours Populaire, et le battant à chaque motif de contrariété. Le petite garçon avait parfois l'impression d'être aussi pauvre que lors de son enfance dans la rue...Mais là, il n'était plus libre, et il avait le plus grand mal à le supporter. De plus, il ne pouvait s'empêcher d'aimer toujours cet homme qui avait un jour voulu le sauver de la rue. Alors, il essaya de se faire entendre. Mais les mots ne parvenaient pas à être entendus de la loque ivrogne qu'était devenu son père adoptif, alors il tenta de se faire entendre par des actes: Quand il pouvait sortir, il chercha à se faire remarquer: Il fuma, il but, il se drogua, il s'automutila. Mais même ces mots-là ne parvinrent pas à faire preuve de sa souffrance aux yeux de son père adoptif. C'est sans doute dans cette période là de sa vie que se développa sa personnalité Bordeline...Qui allait le mener jusqu'en enfer.
Cette vie dura deux ans.

Mais un jour que l'acteur raté était un peu plus aviné que les autres, il frappa Kaelig tellement fort qu'il manqua de très peu de le tuer. On dû l'envoyer à l'hôpital, qui diagnostiqua de nombreuses fractures, et un choc violent à la tête -dû à une bouteille d'alcool que le « père » aurait brisé sur la tête de l'enfant, semble-t-il.
Kaelig mit du temps à se rétablir. Mais il ne laissa à son père adoptif le temps de venir le chercher. Dès qu'il fut en état de tenir debout, il s'enfuit, pour retourner dans la rue, en quelque sorte sa matrice, avec pour seul bien ce T-Shirt de son groupe de rock, un pantalon sale, le médaillon qui ne l'avait jamais quitté, et ce nom qui ne signifiait rien. Kaelig Owen
Kaelig avait douze ans.

Le jeune garçon qui avait quitté la rue se rendit vite compte de ce qui avait changé, en plus du pays et de la langue: On ne survit pas de la même façon à huit ans qu'à douze. Mais la rue avait été son univers, et il la connaissait suffisamment bien pour être capable de s'adapter.
Enchaînant alors quelques petits boulots, il lui arriva aussi fréquemment de vendre son corps, la nuit au fond d'une ruelle. Cela lui permettait de vivre, et c'était le principal. Quand il devait faire ça, son esprit s'échappait, et il s'efforçait d'oublier le mieux possible l'homme qui s'escrimait en lui, soufflant en général comme un bœuf. Après tout...ça faisait mal, mais ça permettait de vivre une journée de plus, alors...Kaelig supposa plus tard que c'était cette pratique qui ancra en lui ces tendances un peu nymphomanes, à sauter sur tout ce qui bouge.

Durant un peu plus de deux, Kaelig retrouva donc cette vie de la rue. Mais il savait que son père adoptif, dont l'honneur avait été « bafoué par sa fuite, mettait tout en œuvre pour le retrouver. Et le jeune garçon ne doutait pas que s'il lui remettait la main dessus...il le tuerait. Mais la rue est vaste, et pour retrouver un petit garçon mendiant parmi tant d'autres...Kaelig se sentait plus ou moins l'abri de lui.

Mais ce qui le trahit, ce fut sa personnalité Borderline, qui s'était depuis pas mal développée. Un jour, il entra dans une rage folle dans un magasin où il travaillait de temps en temps, allant jusqu'à agresser violemment le gérant. Celui-ci appela la police, et Kaelig fut emmené au commissariat le plus proche. A partir de là, on n'eut aucun mal à comprendre qu'il se nommait Kaelig Owen, et qu'un acteur qui se disait son père adoptif, avait lancé sur sa tête un avis de recherche.
Le jeune garçon fut renvoyé à lui, sans aucun moyen de s'échapper, pieds et poings liés.
Kaelig avait quinze ans.

Exactement comme il s'en doutait, l'acteur voulut le punir comme il se devait. Mais pas question de l'envoyer à l'hôpital, cette fois-ci. Une fois Kaelig à moitié mort, il se contenta de l'enfermer dans sa chambre. Mais il n'était plus le petit garçon de huit ans qu'il avait tiré de la rue, celui-ci avait à présent quinze ans, et plus de force physique que lui. Et il ne voulait pas passer sa vie comme ça.
Et, la fois suivante où son père adoptif ouvrit la porte dans l'intention de se défouler, Kaelig fut à deux doigts de le tuer.

Devant un tribunal, l'affaire fut vite classée. Kaelig avait commis une tentative de meurtre, mais une expertise psychiatrique prouva qu'il n'était pas responsable de ses actes. L'acteur ayant encore assez d'argent pour cela, il ne fut pas question de circonstances atténuantes. Il ne lui restait qu'à trouver un hôpital psychiatrique pour y interner son « fils adoptif ingrat ».
Puisque Kaelig est ici, vous connaissez la suite.


▬▬▬▬▬▬▬▬

☼ Surnom : Itami / Isil / Liam / Llewelynn / Niniel / Kagami / Kerridwenn / Laenan
☼ Age : 15 ans
☼ Passions : Tennis, chant, piano, lecture, écriture
☼ Comment avez-vous connu le forum ? : Partenariat avec StarthClyde
☼ Des idées à nous faire part ? : Pas pour l'instant, j'adore le contexte o/
☼ Code : Validé par le schizo de service o/


Dernière édition par Kaelig Owen le Mer 10 Aoû - 14:22, édité 1 fois
Invité


Invité

Kaelig Owen, le Bordeline Empty
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Kaelig Owen, le Bordeline Kaelig Owen, le Bordeline EmptyDim 7 Aoû - 11:10

Petit UP pour déclarer ma fiche terminée o/
Bonne lecture j'espère!

Kaelig Owen
Invité


Invité

Kaelig Owen, le Bordeline Empty
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Kaelig Owen, le Bordeline Kaelig Owen, le Bordeline EmptyDim 7 Aoû - 13:23

*flemme de changer de compte* Bref, rien à redire, l'histoire est bien construite et organisée ^^ une petite inattention du genre : "le petite garçon" mais je vois rien d'autre à mois que mon cerveau ne soit pas assez réveillé !

Bref o/ bravo tu est
Validay !
Invité


Invité

Kaelig Owen, le Bordeline Empty
Revenir en haut Aller en bas
MessageSujet: Re: Kaelig Owen, le Bordeline Kaelig Owen, le Bordeline Empty

Contenu sponsorisé




Kaelig Owen, le Bordeline Empty
Revenir en haut Aller en bas

Kaelig Owen, le Bordeline

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Psychiatral Hospital :: Hors rp :: Membres-
Sauter vers: